La escalera del 23 Canterbury road en Whitstable // L’escalier du 23 Cantherbury road à Whitstable

Hum… 

Rotulador calibrado y acuarela sobre Moleskine cahier d'esquisses 13x21

 Bueno, para empezar, el último tramo, por el que se accede a la hermosa y amplia buhardilla y al que desde ya bautizo como “zona cero”: cero grasa… o no pasas, es sólo apto para expertos y estilizados escaladores, jiii…

El tramo primero, en cambio, si bien tampoco está hecho para lo que podría definirse como “tipo Obélix”, te garantiza, una vez superadas las primeras agujetas en el bajo-muslo, el fortalecimiento de tus gemelos (vulgo pantorrillas) además de una considerable tersura y pretez allá donde el coxis se torna nalga (vulgo culo) …

Lápiz de Ikea, rotulador calibrado y acuarela sobre Moleskine cahier d'esquisses 13x21

Vencida la sensación de “no me llegan las piernas” debida a la generosa y aleatoria altura y nivelado de los peldaños y la de descenso desenfrenado –y sin fin- en esta bajada casi vertical, en la que te agarras a la maroma como si no hubiera un mañana, la memoria acaba por agilizarse (mejor no olvidarse nada… jiiii…) de manera considerable.

Sé que, cuando regrese a la comodidad de mi amplio ascensor, mis gemelos, mis nalgas y toda yo, en mi pequeña mismidad, las echaremos de menos y las recordaremos con nostalgia. Sí, snif… ya lo creo…

Pagina en la que concluye  la meditación sobre la escalerita reafirmante de glúteos y piernas.

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Hem… Bon, pour commencer, le dernier morceau, par lequel on accède à la belle et ample mansarde et que dès maintenant je baptise comme « zone zéro » : pas -zéro- de graisse… ou tu ne passes pas, c’est apte seulement pour des alpinistes experts et stylisés, hé, hé…

Le premier morceau, par contre, même s’il n’est pas fait pour ce qu’on pourrait définir comme « type Obélix », te garantit, une fois vaincues les premières courbatures dans les fesses et les cuisses, le renforcement de tes mollets en plus d’une douceur considérable là où le coccyx devient fesse (vulgairement derrière).

Une fois vaincue la sensation « j’ai les jambes en coton », à cause de la généreuse et aléatoire hauteur et le niveau des marches, et celle de descente effrénée -et sans fin- en cette descente presque verticale, dans laquelle tu t’accroches à la grosse corde comme s’il n’y avait pas de lendemain, la mémoire devient agile (il vaut mieux rien oublier…) de manière considérable.

Je sais que, quand je retournerai au confort de mon ample ascenseur, mes mollets, mes fesses et moi-même toute entière, cet escalier nous manquera et nous nous le rappellerons avec nostalgie. Oui, snif… Je le crois bien !...