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miércoles, 30 de agosto de 2017

Pequeñas cosas, pamplinas de este verano que se va // De petites fariboles de cet été que s'en va




Que tu batidora, mientras monta unas claras a punto de nieve, pase -de manera fulminante-  a mejor vida sin previo aviso y sin arrechuche previo alguno.  En su descargo diré que tenía más años de los que aparentaba. Y que sus buenos trotes yo le he dado. A medio camino entre el enfado y la pena, salimos, mi santo y yo, en busca de sustituta. Y tras largas meditaciones esta fue la que nos trajimos. Me pesa no haber retratado a la difunta, pero mi santo, que no tiene en cuenta mis sentimientos dibujísticos, la depositó veloz en el punto limpio: ignoro si por evitarme la pena de la despedida, si por quitarse el muerto de encima, o por quitarse él mismo de en medio y tomarse un cafecito, o una cervecita, a la que volvía del “depósito”. Es una causa perdida -la causa-, mayormente porque él nunca lo confesará. 
Así pues, la dibujada en   “mi reciclada” no es la difunta, sino “la otra”. En fin, que se cumple aquello de “A rey muerto rey puesto”. O reina. Jiiiii…





Rotulador calibrado, acuarela y lápiz blanco sobre agenda reciclada 11x15
 

Y como toda reina que se precie, esta reina viene con "su séquito"...




Rotulador calibrado, acuarela, lápiz blanco y bolígrafo plateado sobre agenda reciclada 11x15



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Que ton mixeur, pendant qu’il monte les blancs en neige, quitte -de manière fulminante- ce monde, sans aucun symptôme de maladie, sans avoir eu aucun accès d’indisposition. En sa défense je vous dirai que même s’il avait l’air de la jeunesse il était un mixeur d’âge mur. Et que -grâce à moi- il avait beaucoup vécu.  À mi-chemin entre l’irritation et la tristesse, on est partis -mon mari et moi- chercher le remplaçant. Et après des intenses et longues méditations ce que je vous montre c’est le choisi.
Je regrette bien de ne pas avoir dessiné le défunt, mais mon mari, qui ne tiens pas compte mes sentiments de dessinatrice, est parti rapidement avec le corps défunt vers le point vert : j’ignore si pour m’éviter la tristesse de l’adieu, si pour se débarrasser du fardeau, ou pour disparaître lui-même et prendre un café ou une bière au retour du « allégement ». C’est un mystère, une cause perdue -la cause- qu’il ne m’avouera jamais. Ainsi, le dessiné sur mon agenda « recyclé » n’est pas le défunt sinon « l’autre ». Enfin, comme le proverbe dit, « le roi est mort, vive le roi ». Hé, hé…

Et comme toute roi qui se respecte, ce roi vient avec « sa cour »...