Chers amis francophones qui visitez ce blog;
Je tiens à vous remercier pour vos visites, et même si je ne peux pour le moment publier en français, je vous encourage à laisser des commentaires si vous le souhaitez. Si vous avez de s questions à poser, je me ferai un plaisir de vous répondre.

Hi bloggers;
Thank you for your visits, even if I cant't post in English yet I encourage all of you to leave yours comments. If you have any questions, I'll try to answer back as soon as possible.

jueves, 31 de mayo de 2018

De antiparras, sus fundas y otras gaitas // De binocles, leurs étuits et d'autres fariboles



Andaba la reverendísima madre abadesa, doña Marga, a la caza y captura del contenedor de gafas perfecto: perfecto cachivache, digno de ser tuneado, para redondear el oufit  del bolso pinturero. Donde guardar unos rotuladores, un pincel de agua, un lapicero... Perfecto para entrar en ese mundo de latas, fundas, cajas, etc, que roza lo diogénico, en este convento.  Perfecto y digno. Digno para mostrar y compartir en el simposio cachivachero. Perfecto y punto. Punto. Entregada en la febril búsqueda hallábase cuando topose, en un pequeño y recóndito recoveco de los entresijos del bargueño, con el archiperre perfecto, con la funda perfecta: hum… amplia, ancha, profunda, pensó imaginando que ella sería el paraíso perfecto en el que sus pecadillos pictóricos pasarían desapercibidos. No obstante, su interior guardaba otro tipo de perdición. Las antiparras solares perfectas para los venideros días de sol, además del paraíso ocular del alérgico.


Rotulador calibrado y bolis de los chinos sobre agenda reciclada 11x15

Otro día será. Será por arcas, arcones, baúles, bancos, bargueños, cajas, cajones, consolas, jamugas, fraileros, papeleras, paragüeros y hasta zaguaneros en este convento…


Rotulador calibrado y bolis color de los chinos sobre...

La madre abadesa se alejó por el claustro recogida, pensativa, meditabunda, circunspecta (convendría pensar -pensó-, puestos a ponerse, en algún ungüento; más aún estando, como está, tan perverso don Lorenzo).


           *****   *****   *****   *****   *****   *****   *****


La mère abbesse, doña Marga, était à l’affût de l’étui de lunettes parfait : le truc parfait, digne de tuner pour réussir la rondeur de l’oufit, au sujet de trucs de peinture, de mon sac à main. Où garder quelques stylos-feutres, quelque pinceau d’eau, quelque crayon… Parfait pour ce monde -de boîtes, de trousses, d’étuis- qui est trop près du syndrome de Diogène dans ce couvent. Parfait et digne. Digne d’être montré dans le symposium des babioles. Parfait et point, point final. Point. Elle se trouvait consacrée à la fébrile recherche quand depuis les recoins d’un des tiroirs d’un bonjours-du-jour s’est heurtée à la babiole parfaite, l’étui parfait : Hem… ample, large, profonde, elle a pensé en imaginant que cela serait le paradis parfait où ses péchés picturaux passeraient inaperçus. Toutefois, dans son intérieur, l’étui gardait un autre type de perdition. Les lunettes parfaites pour les prochains jours de soleil, en plus du paradis oculaire de l’allergique.
Bon, demain il sera jour. Sera-t-il par un manque de boites, bureaux, coffres, mailles, étagères, tiroirs dans ce couvent… ?
La mère abbesse, réflexive, pensive, méditative, circonspecte, s’est éloignée par le cloître [il faudrait (pense-t-elle), tant qu’on y est, de se faire avec un bon onguent ; encore plus étant, comme il est, le soleil… si pervers].



sábado, 12 de mayo de 2018

Tras el éxtasis, "LA PROFANACIÓN" // Après l'extase, "LA PROFANATION"




Profanación mística de la primera página del hermoso cuaderno de mi Amigo Invisible, el pirata Barbaplata.



Acuarela y brilli-brilli sobre cuaderno de mi Amigo Invisible
 
Día tercero, hora nona.  La última de las joyas del botín, con la que el pirtata Barbaplata la obsequiaba, era un hermoso cuaderno.



La joya del tesoro, enviada por mi Amigo Invisible, el pirata Barbaplata

 La reverendísima madre abadesa, Doña Marga, hallábase en la intimidad de su celda. Poseída por  los potentes influjos del lactocafeinado a secas – pues hallábase todo el convento en la austeridad post-navideña-, a su encuentro salieron, valiéndose de su débil mente-demente, otro mar, otro navío… Rumores de olas, versos de piratas…











Agua, acurela,  brilli-brilli...

El éxtasis, o tal vez la posesión, le sobrevino. Llenose todo de azules puntos de luz (léase, para los no poseídos, brilli-brilli vulgaris). Manifestose vertiginosamente todo ello  sobre el papel.


Agua, acuarela y brilli-brilli...

Cuando en sí volvió la reverendísima doña Marga ya nada podía remediarse. La inmaculada hoja, hermoso don del pirata Barbaplata, había sido vilmente profanada.





 
Confesión pidió, aunque arrepentimiento no hubiere… ¡Ay!
Para que quedara constancia de tan vehemente suceso, la reverendísima abadesa, doña Marga, en un momento de lucidez -periodo entre lactocafeinados- dio forma ilustrada de cómo, en tan prodigiosa aparición, fraguaronse  la tal profanación y el alumbramiento -que bien pudiera derivar en deslumbramiento- del azul bergantín del pirata Barbaplata ( y que es justamente lo que habéis visto en el post anterior a este)



Agua, acuarela brilli brilli. Para el poema tinta azul y palillero con punta de caligrafía



Cuaderno Amigo Invisible 15x21

Agua, acuarela y brilli-brilli... Yo creo que es suficientemente frugal como para llevarlo al Finde Frugal de Marcela Cavaglieri.


          *****   *****   *****   *****   *****   *****   *****


Profanation mystique de la première page du beau cahier de mon Ami Invisible, le pirate Barbaplata.
Troisième jour, neuvième heure. La dernière des bijoux qui m’offrait le pirate Barbaplata était un beau cahier.
 La révérendissime mère abbesse, Doña Marga, se trouvait dans l’intimité de sa cellule. Possédée par les puissants influences du café, tout court, donc tout le couvent se trouvait sous l’austérité après noël, en se servant de la précarité de son pauvre état psychique, des rumeurs de vagues, verses de pirates, une autre mer, un autre brigantin sont allés à la rencontrer.
L’extase, ou la possession lui est survenue. Tout a commencé à se remplir de minuscules points bleus (ce qui pour les non possédés ne serait que de banale purpurine). Tout cela s’est exprimé sur le papier vertigineusement. Quand la révérendissime abbesse est revenue à soi il n’y avait déjà aucune solution : La belle page blanche, le beau cadeau qui lui avait offert le pirata Barbaplata, avait été vilement profanée. Elle a demandé confession, bien qu’elle n’ait pas de repentance… Ouille !
Afin de témoigner ce fait tellement véhément la révérendissime abbesse, Doña Marga, dans un instant de lucidité -un période entre café et café au lait- a décidé de raconter médiant des illustrations la manière comment durant cette prodigieuse possession s’est exécuté cette naissance et profanation -qui à cause de la purpurine pourrait devenir en éblouissement-, du brigantin bleu du pirate Barbaplata (petite histoire dessinée que vous avez vu déjà dans le post antérieur à celui-ci).

Je pense qu'un peu d'eau, d'aquarelle et un peu de purpurine c'est suffisamment frugal pour aller chez Marcela Cavaglieri  à son  Finde Frugal