Acuarelas sobre Moleskine 21x13 |
Zapatos tipo mocasín:
formales, incluso normales; limpios, brillantes, bien hidratados. Un punto de clasicismo, me
digo mientras observo sus divertidos calcetines bicolores azul grisáceo con
rayas rojas; curiosamente del mismo azul grisáceo que su jersey; esto, casualidad
o elección, denota una necesidad estética de tranquila armonía dentro de su
imagen total. Un contrapunto divertido, este de los calcetines, que habla mucho
más de lo que parece sobre quien los porta, porque habla de cielos grises, de
inviernos, de mar, y de alguien que ama el mar. Y quien ama el mar, en algún
momento, inevitablemente, desvía su mirada hacia un barco deseando embarcar. Y
luego está el rojo, que es fuego, es
transgresión, es vida, es calor, es
pasión. Las rayas marineras se llevan un
montón… Un tipo coqueto. ¿Por qué no?
La moda, que viene y va, aunque las rayas marineras, ajenas a sus
vaivenes, siempre están. No. Este no es
simplemente un tipo coqueto. Este es un tipo con personalidad.
La pitonisa zapateril.
Si deseas tu análisis psicozapateril, envíame por correo
electrónico una foto de tus pinreles/ calcetines/ calzado variopinto. Sé
solidario, colabora con la experimentación científica. NO testado sobre animales…
* * * * * * * * * * * * * *
Chaussures mocassin: rangées, même normales; propres, brillantes,
bien hydratées. C’est un point de classicisme, je me dis pendant que je
remarque ses drôles chaussettes
bicolores bleu grisâtre à rayures rouges;
curieusement de la même couleur gris que son pull; que ce soit une coÏncidence ou un choix, cela dénote une
besoin esthétique de tranquille harmonie
dans l’ensemble de son image, à rayures rouges. Une note d’originalité amusante celle de ses chaussettes, qui parle
beaucoup plus qu’on croit à propos de qui les porte, parce que cela parle des
ciels gris, des hivers, de la mer, et de celui qui aime la mer. Et celui qui
aime la mer, le moment arrivé, d’une manière inévitable, tourne son regard jusque
vers un bateau en désirant embarquer. Et
après c’est le rouge, qui est le feu, qui
est la transgression, qui est la vie, qui est la chaleur, qui est la passion.
Les rayures marines sont à la mode… Un type coquet. ¿Pourquoi pas? La mode qui
va et vient, mais les rayures marines, étrangères à ce va-et-vient, sont là à
tout jamais… Non, ce-ci n’est pas simplement un type coquet. C’est un type qui
a beaucoup de personnalité…
La devineresse des chaussures (ou
plutôt des chaussettes…hé, hé… )
Si vous souhaitez votre analyse psychologique
à travers vos chaussures, envoyez moi une photo de vos panards/chaussettes/
chaussures diverses. Soyez solidaire!, collaborez avec l’expérimentation
scientifique. Pas prouvé sur des animaux.
Ha ! Ha ! C'est génial, Margarita! Ton sketch et ta description. J'adore. Je ne regarderai plus jamais les bas de la même façon . Promis.
ResponderEliminarLes bas ont une vie et une histoire que tu racontes avec beaucoup d'aisance. Tu es un trésor d'imagination! Mais je n'ose te dire quel genre de chaussettes je porte. Suffit de dire que c'est très varié selon mon humeur!
Non mais quel aplomb tu as! :)
Abrazotes, chère devineresse des chaussettes et merci pour ce texte. J'en redemande encore...
Hé, hé... Ma chère, je pense que chacun de nous, bien soit un peindre, un écrivant, est un observateur, l'activité artistique demande ça. Alors, en fait, sans vouloir, l'artiste, qui enferme un petit investigateur, il deviendra psychologue ou detective tôt ou tard ..
EliminarJe rigole bien aussi en t'imaginant remarquer les bas et les chaussures et en faisant l'analyse psychologique de ceux qui se croiseront dans ton chemin... Hé, hé...
En hiver, pour le jour à jour, je porte presque toujours des pantalons; j'aime les robes et les jupes mais pas les collants, de cette façon, avec mes pantalons je porte des chaussettes coloris avec mes chaussures marron en forme de bottine, lacées, à gros talon haut (un peu Mary Popins) ou d'autres, lacées aussi, mais complètement plates, type Oxford en daim couleur marron ou d'autres mais bicolores en daim bleu marine et gris... Comme tu dis, on choisit les chaussures selon l'humeur, mais pressées aussi par la climatologie ou les diverses sortes d'activités qui nous attendent... Hé, hé...
Abrazotes ;-)
Ya veremos qué dice el maestro cuando vea retratado su pinrel...
ResponderEliminarUn abrazo.
PD - No se lo digas a nadie, pero he de confesar que yo también me fijo en los zapatos de la gente (lo que no sé es hacer luego esos análisis pormenorizados)
Ja,ja... es verdad, miedo me da, pensé al leer tus palabras, porque yo, en mi ausencia de cordura, no había pensado en eso, pero no ha llegado la sangre al río... ja, ja...
EliminarAbrazotes
Posdata: lo que yo digo, todo artista lleva un detective y un psicólogo dentro...
Menos cháchara y envíame esa foto cotidiana de tus pinreles, calcetines, zapatos (chancletas, sandalias, etc... )
Abrazotes
Este comentario ha sido eliminado por el autor.
ResponderEliminarHola Margarita.
ResponderEliminarTras los ocho meses de escritura de mi libro y la deliberada y alocada destrucción de mi antigua lista de blogs, al fin vuelvo a tu blog. Deseaba hacerlo pero, los días pasaban y mis deberes blogueros me desbordan de nuevo.
En realidad leerte, escribas sobre lo que escribas, es un placer. Y ademáss te envidio porque estoy seguro de que en francés también serás capaz de desenvolverte igualmente bien. Ese es mi espinita clavada en el corazón. No haber rematado nunca los estudios que tenía tanto de inglés como de francés!
Sobre esa acuarela de mocasines con calcetines a rayas... pues magnífica Margarita.
Pero sobre todo, hoy estoy encantado de reencontrarme con tu blog.
Un abrazo.
Ya te tengo apuntada de nuevo..
Hola, José, me alegra verte de nuevo. Espero que ese meditado periodo de retiro que te tomaste haya sido reparador y beneficioso en cuanto a tu estado creativo, como en lo que respecta a lo personal. A veces es necesario, y bueno, pararse para enfocar bien hacia el horizonte y decidir cual es el mejor camino a seguir.
EliminarDe lo de los idiomas, piensa que nunca es tarde, que siempre estarás a tiempo de retomar...
Aparte de esta meditada vuelta tuya al mundo bloguero, también me alegra, y mucho, que esta aventurilla zapateril te haya gustado.
Abrazotes
Jajajaja... Pitonisa zapateril... Qué puntazo tienes, Margarita, eres única y genial. Contigo siempre consigo acabar riendo a carcajadas, así que no veas cómo te quiero (ya sabes que queremos mucho a quien nos hace reír)..
ResponderEliminarPensaré lo de la foto, aunque no tengo piñón fijo para los calcetines, excepto que me gustan de algodón. Dentro de esto, pueden ser negros, marrones, granates, blancos, azul marino...; intento combinarlos con la ropa, claro, aunque a saber lo que la gente dirá.
Un beso, resalá.
Ja, ja... Y yo que me alegro de que te rías con estas cosejas, Isabel. No lo puedo evitar, hasta en los momentos peores, incluso luctuosos, algo cómico se cruza por mi mente demente... Esto debe de ser porque mi única neurona, de la cual dependo, jiiiiii, se nutre de sangre sureña, muy dada a lo de sacar punta, incluso de manera no consciente ni voluntaria, a lo que se tercie, jeeee....
EliminarAbrazotes...
Posdata: ¡Síiiiiiii! Anímate y envíame esa foto de tus pinreles, calcetines zapatos, los que el día y el momento te demanden (la dirección de correo está dentro de mi perfil) y yo lo dibujaré y describiré "de aquella manera" tu momento, jiiiiiiii.
Qué original y divertida eres, además de escribir genial. Un abrazote
ResponderEliminar¡Gracias, Olga! Me alegra que te haya gustado. Ya ves qué cosas "se pasean" por mi mente demente, y que ni me piden permiso ni na... Unas frescas estas ideas, que se presentan sin avisar y, las muy frescas, que me dicen: "hala, aquí estamos: esto es lo que hay." Jiiiiii... ¿Tú te crees que esto es plan...?
EliminarAbrazotes
Ah chere Margarita, tu me fais toujours rire :-) N'empeche qu'effectivement les chaussures/chaussettes le disent longues sur une personne . Grosse bise !
ResponderEliminarMerci, ma chère. Je suis très contente que tu aimes ces petits "attentats" humoristiques à la vraie science de la psychologie, hé, hé... Mais, en fait, comme tu dis, les chaussures comme le sac à main ou nos vêtements, d'une façon pas intentionnée, parlent de nous, de nos préférences, de nos priorités et des circonstances qui entourent nos vies...
EliminarGros bisous ou... Abrazotes
J'ai bien ri, Margarita, à ce billet : il y a longtemps que je suis convaincue que les chaussures et les chaussettes qui sont dedans en disent long sur notre personnalité ! Je t'enverrai bien mes chaussettes mais j'ai un gros problème depuis quelque temps : chaussant du 35, et nos jeunes ados étant de plus en plus grands, je suis désormais obligée de me servir chez les enfants !!! Alors, je cache mes chaussettes Betty Boop ou autres dessins animés soigneusement sous mes pantalons ! Bisous.
ResponderEliminarNAMELIE, le temps devant soi
Ah, ma chère Nameli, je te comprends bien, mais les chaussures pour les enfants sont jolies aussi, commodes et nous donnent un air naïf. J'aimerais bien ça, d'avoir des chaussures différentes pour peindre! J'espère que tu m'enverras cette photo, ainsi je pourrai travailler... Il ne faut pas nous cacher. Quand je porte mes chaussures d'hiver, lacés et en forme de botte, gros talon haut, avec mes chaussettes en couleurs, je suis Mary Popins. Quand je les porte lacé, plain et bicolore, je suis comme un petit chanteur de jazz... Hé, hé... Soyons nous-mêmes! C'est ça ce qui est important... Avec photo ou non, je suis très contente que tu sois ici de nouveau, ma chère.
EliminarGros bisous
Che magnifico post, bello e divertente. Mi ha messo allegria passare da te Margarita! Un abbraccio.
ResponderEliminarPerché mi fa felice che questa piccola e sconsiderata scaramuccia, e che mi perdonino i professionisti della psicoanalisi, ti abbia divertito.La vita è molto più gradevole se gli mettiamo una sorriso.
EliminarMoltissimi grazie, Tito.
Un forte abbraccio, o come normalmente dico...
Abrazotes
Y por qué no el arte en los zapatos y en los calcetines, aún siendo algo tan cotidiano. Los náuticos, los zapatos-zapatillas más cómodos que hasta se pueden llevar sin calcetines. Estos zapatos recuerdan días de vacaciones, la costa, los barcos, todo lo "marino"
ResponderEliminarTu dibujo me huele a salitre y me hace recordar el verano, el tiempo libre, las vacaciones ¡Qué bien!
Ah, y también "por sus zapatos los-las conoceréis.
Un fuerte abrazo.
Pues así es, cada uno de nosotros habla de su forma de vida, de su carácter, de sus gustos, de sus circunstancias, a través de sus zapatos mucho más de lo que pensamos, Isaura. Como dices, la visión de los zapatos de otro puede despertar recuerdos y sensaciones dormidas que están esperando ser despertados. Y pueden atraernos o repelernos hacia quien los porte en función de ese psicoanálisis involuntario que nuestro cerebro hace incluso sin que nosotros seamos conscientes de ello: ese "por sus zapatos los/las conoceréis" del que, tan acertadamente, hablas...
EliminarMuchísimas gracias, Isaura.
Abrazotes
Bueno, esta nunca la había escuchado socia...análisis de personalidad según calcetines? jajajajaja
ResponderEliminarQue me dirás a mí que a veces con el apuro y sin las gafas, me pomgo dos diferentes jajajajaja
Noooo mejor no me analices jajajaja
Besotessssss
Jiiiiii... Ya ves, socia. La observacion tiene estas cosas, jeee... Cuidado, el mundo está lleno de observadores zapateriles que acaban analizando también tus calcetines. Los caminos del psicoanalista afcionado son impredecibles.... Jiiiiii. POngamos un toque de humor en nuestro día a día; un poco de humor, hasta en las peores circunstancias, hace la vida más llevadera.
ResponderEliminarAbrazón
Posdata: en cuanto a lo de no psicoanalizarte, mándame esa foto de tus pinreles, calcetienes, zapatos variopintos a mi correo y veremos... jiiii
Pues lo mío son las chanclas de dedo, eso sí, sin calcetines. Si me los pongo con otro tipo de calzado, suelen ser multicolor, aunque no combine con el resto de la ropa. Es una señal de transgresión que me permito.
ResponderEliminarY ahora dime, pitonisa zapateril, ¿Qué ves?.
Yo te veo divertida, creativa, ingeniosa y artista...¡Ole! (A ver qué me dices...)
Abrazos querida maga.
Ja, ja, eso es porque el clima es propicio, jiiiiii... Parece que a todos nos gustan los calcetines coloridos, a mí también, y creo que con la edad me estoy queriendo más, soltandome la melena, atreviéndome en muchos sentidos, y mis complementos, que quizá siempre fueron ese punto transgresor que me permitía, son también más libres, más transgresores que en mi juventud. A la vejez... jajaa
ResponderEliminarSi quieres tu análisis psicozapateril tendrás que enviarme una foto de tus pinreles, con o sin calcetines, con el calzado que el día y el momento te pida, a mi correo elétrónico ( sólo tienes que pinchar en mi perfil) Y esta pitonisa los dibujará y te psicoanalizará fetén, pero fetén. Ya tengo unos cuantos...
Abrazotes,
y que tu Semana Santa transcurra, emocionada y emocionante, entre aromas de cera, de incienso y de azahar
Efectivamente, los zapatos dicen mucho de su usuario. Buen dibujo Margarita.
ResponderEliminarMuchas gracias, Marisol, me alegra que te haya gustado.
EliminarAbrazotes