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miércoles, 14 de junio de 2017

Whitstable: el día de la gran tormenta // Whitstable : le jour du grand orage







Los planes para la soleada mañana de nuestro aniversario de boda eran simples y relajados: pasear por el pueblo, visitar -de nuevo- la librería de libros usados, entrar sin prisas en las coquetas tiendas que recorrían nuestra larga calle hasta llegar al puerto para después coger el coche e irnos a comer a un coqueto restaurante, en un pueblecito cercano, para celebrar “lo nuestro”. Y salimos, tranquilamente, sin prisas. A medio camino entre nuestra casa y el puerto, comenzaron a caer cuatro gotas. Luego el cielo se puso negro. Muy negro. A las doce de la mañana el mediodía se tornó noche cerrada -solo alumbrada por los escalofriantes relámpagos- y las cuatro gotas en diluvio. Y así, nos convertimos en auténticos cuerpos tan andantes como chorreantes. Calados nuestros cuerpos y nuestras vestimentas hasta lo más íntimo de nuestras más íntimas prendas culminamos el regreso a casa siendo regados por el agua que los autos, pese a circular lentamente, arrojaban sobre la acera. 
 La tarde pasó rápidamente entre toallas, lavadoras, y turnos de secador. No, nada de coquetería capilar: el secador sirvió para secar zapatos y deportivas.


L'improvisé atelier de séchage après l'orage du 13 août à Whitstable : lápiz de Ikea, rotulador calibrado y acuarela sobre Moleskine cahier d'esquisses 13x21


Celebramos “lo nuestro” con ensalada, espaguetis y juegos de mesa. Y he de decir que fue un aniversario muy especial, con ese punto de genialidad que lo imprevisto confiere a cualquier asunto, además de sonoro, bastante eléctrico, y muy… húmedo, jiiiii…


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Le projet pour le matin ensoleillé de notre anniversaire de mariage était simple et détendu : flâner par la ville, se rendre -de nouveau- à la librairie d’occasion, parcourir tranquillement les petites boutiques qui parsemées dans notre rue conduisaient jusqu’au port, pour après prendre la voiture pour arriver jusqu’à un restaurant très mignon, en une petite ville prochaine, pour célébrer «notre affaire» (notre anniversaire de mariage). Et on est sorti. Tranquillement, sans se presser. À la moitié du chemin, entre notre maison et le port, trois ou quatre gouttes ont commencé à tomber. Ensuite le ciel est devenu noir. Très noir. À midi il était nuit noir -seulement allumée par les effrayants éclairs- et les quatre gouttes, le déluge. Et c’est ainsi qu’on est devenus en des corps aussi errants que coulants. Trempés nos corps et nos vêtements jusqu’à le plus intime de nos vêtements plus intimes, on a culminé la rentrée étant arrosés par l’eau que les voitures, même si elles circulaient doucement, jetaient sur le trottoir.
 L’après-midi est passée trop vite entre des serviettes, faire la lessive, et se relayer avec le sèche-cheveux. Non, pas de coquetterie capillaire, le sèche-cheveux a servi à sécher nos chaussures et tennis.
On a célébré « notre affaire » avec une bonne salade, des spaghettis et des jeux de société. Et je dois dire qu’il a été un anniversaire très spécial, avec ce point de génialité que l’imprévu met à n’importe quelle affaire, en plus de bruyant, assez électrique, et très… humide, hé, hé…